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    JE VOUS SOUHAITE

    A TOUTES  ET  TOUS :

    "  UN  JOYEUX NOËL "

    et   DE  " BONNES  FÊTES  DE FIN D' ANNÉE  " 

     

     Noël - La natinité

     

    Dominique

     


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              L'ASSOMPTION  DE LA VIERGE MARIE

     

    Ô Marie, l'univers tout entier se réunit au Ciel, en ce Jour, 

    pour célébrer votre Triomphe 

     

     Paroles prononcées par  Madame Louise de France , dernière fille du roi Louis XV  

    Alors devenue Carmélite sous le nom 

    de Sœur Thérèse de Saint-Augustin  

     

               Reproductions D'art De Musée | l`assomption de la vierge, 1670 de Bartolome Esteban Murillo (1618-1682, Spain) | ArtsDot.com

                  Tableau de  Bartolome  Esteban Murillo (1670)

     


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    Étant une inconditionnelle de Victor HUGO, je n’ai pu résister au plaisir de poster ce poème, dont  avant-hier encore j'ignorais l'existence.

    Celui-ci, qu’il écrivit dit-on en 1846, est extrait du recueil posthume
    « Toute la Lyre » publié en  1886

     

     

    Le  Mot

     

    Braves gens, prenez garde aux choses que vous dites !
    Tout peut sortir d’un mot qu’en passant vous perdîtes ;
    TOUT, la haine et le deuil ! Et ne m’objectez pas
    Que vos amis sont sûrs et que vous parlez bas.
    Écoutez bien ceci : tête-à-tête, en pantoufle,
    Portes closes, chez vous, sans un témoin qui souffle,
    Vous dites à l’oreille du plus mystérieux
    De vos amis de cœur ou si vous aimez mieux,
    Vous murmurez tout seul, croyant presque vous taire,
    Dans le fond d’une cave à trente pieds sous terre,
    Un mot désagréable à quelque individu.
    Ce MOT — que vous croyez qu'on n’a pas entendu,
    Que vous disiez si bas dans un lieu sourd et sombre —
    Court à peine lâché, part, bondit, sort de l’ombre ;
    Tenez, il est dehors ! Il connaît son chemin ;
    Il marche, il a deux pieds, un bâton à la main,
    De bons souliers ferrés, un passeport en règle ;
    Au besoin, il prendrait des ailes, comme l’aigle !
    Il vous échappe, il fuit, rien ne l’arrêtera ;
    Il suit le quai, franchit la place, et cætera
    Passe l’eau sans bateau dans la saison des crues,
    Et va, tout à travers un dédale de rues,
    Droit chez le citoyen dont vous avez parlé.
    Il sait le numéro, l’étage ; il a la clé,
    Il monte l’escalier, ouvre la porte, passe,
    Entre, arrive et railleur, regardant l’homme en face
    Dit : “Me voilà ! Je sors de la bouche d’un tel.”

    Et c’est fait. Vous avez un ennemi mortel
    . 

     

    Victor HUGO

     

     


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     " MINUIT  CHRETIEN " 
     
     
     

    C'est grâce à l'heureuse inspiration du  poète Gardois, Placide Cappeau (1808-1877) et à celle, non moins talentueuse du compositeur Adolphe-Charles Adam (1803-1856) que le chant de Noël  " Minuit Chrétien" vit le jour en avril  1847 et qu'il fut, pour la première fois dit-on, chanté dans l'église de Roquemaure (Gard) par Madame Emily Laurey cantatrice et ancienne élève lyrique du compositeur, lors de la messe de minuit de la même année.

     

    Ce cantique est ci-dessous remarquablement interprété par le chanteur québécois: Bruno PelletierGringoire dans la comédie musicale Notre-Dame de Paris).

                               

                                     Un clic sur l'image pour l'écouter !

              
                              
     
     
     A   VOUS   TOUTES   ET    TOUS 
     
    JE   SOUHAITE   UN 
     
     
     
     

    © Dominique
     
     
     

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    La Naissance du Chant de  Noël

    «  DOUCE NUIT »

     

    Tout le monde  connaît le merveilleux  chant de Noël qu'est « Douce Nuit  » en anglais  «  Silent Night »   mais peu de personnes savent, que nous devons celui-ci, à deux Autrichiens:  Joseph MOHR né le 11 décembre 1792 à Salzbourg et  Franz Xaver GRUBER né le 25 novembre 1787 à Hochbourg (Haute-Autriche).

    En effet le texte allemand « Stille Nacht » du célèbre chant a été écrit en 1816, par Joseph Mohr, alors jeune prêtre dans une église de Mariapfarr, en Autriche, d’où était  originaire son père ( qu’il n’a jamais connu ) L'année suivante, il est transféré à Oberndorf où il officie. Il y fait la connaissance de Franz Xaver Gruber, un voisin « instituteur-musicien ». Il lui fit lire son poème et lui  demanda de bien vouloir composer un accompagnement à la guitare,( instrument que Joseph affectionnait depuis  toujours ) afin que de pouvoir proposer à ses ouailles un nouveau  cantique de Noël. Gruber élabora, en vue de son exécution, un arrangement pour une guitare, deux voix et accompagnement du chœur.

    Quand vint le soir sacré, de Noël 1818, (voilà donc deux cents quatre ans ) grâce à l'aide de Gruber, le chant put retentir pour la première fois dans l'église St Nicolas d’ Obendorf  

    Après qu’un facteur d’orgues, Karl Mauracher, de la Vallée du Ziller, en Autriche se rendit à Oberndorf pour réparer l'orgue. Il trouva une copie de la composition ,la ramena chez lui et ce chant commença son fabuleux voyage  à travers le monde.

    Lorsque Joseph  Mohr décéda, le 4 décembre 1848 à Wargrain, Le chant était déjà  célèbre dans tout les pays d’Europe , mais si l’on connaissait l’auteur du cantique, beaucoup pensaient  que l’on devait la musique à Haydn, Mozart ou bien à Beethoven. Ce ne fut que plus tard,  que l’on put rendre la paternité de cette mélodie à Gruber et ce, grâce à un manuscrit signé par Joseph Mohr  lui-même, manuscrit dans le coin droit  duquel il  avait écrit:  Mélodie von Fr. Xav. Gruber."

    ©  Dominique

     

    Photo du net

    The Permanent Tourist » My Favorite Carol….
     
                                           Joseph MOHR            Franz Xaver GRUBER  
      
                                  
     
     

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