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    PASTICHE

     

    Sur L' Air  DeLA CHANSON  DES  JUMELLES

    Du Film 

    " LES DEMOISELLE DE ROCHEFORT "

     

    LES CONTRACTUELLES

     

    Mes Pastiches : Les Contractuelles

     

    Refrain

    Elles sont contractuelles
    Elles vérifient que les autos
    Ne soient pas mal garées
    Portes cochères ou sur bateaux
    Dans les rues, les ruelles
    Avec leur carnet leur stylo
    Elles traquent  les infractions, les délits
    C'est là leur boulot

    Couplet

    Elles n'ont pas un   sa/ lai /re  -  mi /ro/ bo/lant
    Et font un métier guère / va / lo / ri /sant
    De la population vouées  aux gémonies
    Comment donc pourraient-elles, n'avoir d'acrimonie
    Elles verbalisent de  par / faits / -  in / co /nnus
    Qui voyant les P-V semblent tom / bés  /  des / nues
    Ils cherchent des excuses, des mots qui amadouent
    Mais avec les Pervenches, ça ne marche pas du tout

    Refrain

    Elles sont contractuelles
    Et parfois dans le caniveau
    Elles retrouvent froissé
    Ces petits papillons-cadeaux
    Qu'avec beaucoup de zèle
    Elles distribuent à gogo
    Coincés sur l'essuie-glace
    Entre pare-brise et capot

    Couplet

    Sitôt qu'un véhicule est  mal  /sta / tion / né
    Elles sont toujours là pour le  sanc/ tio /nner
    De même sur une zone avec horodateur
    Sera verbaliser qui dépassera l'heure
    Elles sont déterminées et n'ont pas  froid  / aux  / yeux
    Ces auxiliaires de police en  uni  / for / me / bleu
    Qui ont abandonné les légumes pour les fruits
    Et vous colles des prunes et des amendes aussi

    Refrain

    Elles sont contractuelles
    Elles vérifient que les autos
    Ne soient pas mal garées
    Portes cochères ou sur bateaux
    Dans les rues, les ruelles
    Avec leur carnet leur stylo
    Elles traquent les infractions, les délits
    C'est là leur boulot

     

     © Dominique


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    Sur l'air de la chanson 
    "Tu T'laisses aller " 

     (de Charles ARNAVOUR)

     

     

    Vingt-quatre heures !


    S’il nous était offert un jour
    De revivre  vingt-quatre heures de vie
    De faire le compte à rebours
    Lesquelles par nous, seraient choisies
    Ce serait là, un grand dilemme
    Choisir de revivre des bonheurs
    Au nombre de tous ceux que l’on aime
    Pour vingt quatre-heures, pour vingt quatre-heures !

     

    Vingt-quatre heures en continu
    Revivre un jour intensément
    Ou bien choisir de notre vie
    Çà et là, plusieurs beaux moments
    Comment pouvoir privilégier
    Des joies qui emplissent notre cœur
    D’une façon délibérée
    Vingt-quatre heures, vingt-quatre heures ?
     

    Vingt-quatre heures passent très vite
    Lorsqu’on les vit intensément
    Mais en ce cas ce serait pire
    Car l’on saurait expressément
    De quoi fut fait notre avenir
    Constitué de rires et  pleurs
    Et l’on voudrait les retenir
    Ces vingt-quatre heures, ces vingt-quatre heures 

    Et l’on voudrait les retenir
    Ces vingt quatre-heures, ces vingt-quatre heures !
     


    © Dominique 

     


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    FABLE  PASTICHE 

    " Le Corps beau et le Reinhard  "

     

    Fable Pastiche : Le Corps beau et le Reinhard !

     

     
     
     
     
    Un  corps beau sur une scène dansait
    Exhibant certains avantages
    Dans la salle Herr* Reinhard regardait
    La lippe gourmande malgré l'âge
    ll dit à la jeune femme après le show
    Avec un accent germanique
    Mademoiselle vous êtes un joyau !
    Ajoutant, le regard lubrique
    Je n'ai rien vu d'aussi beau
    Tout joyau mérite un écrin
    Point de cabaret libertin
    J'ai à Berlin un Music Hall
    Cette salle n'est pas plus grande qu'un hall
    Il vous siérait bien davantage
    Vous y seriez star je m' y engage
    Il faut croire en votre destin !
    Corps beau mais tête de linotte
    La belle et imprudente Charlotte
    Trouvant ce propos alléchant
    Accepta immédiatement
    Elle partit donc pour l'Allemagne
    Qu'elle pensa pays de cocagne
    Mais d' Herr Reinhard qui l'attendait
    Les promesses s'étaient envolées
    Au lieu de la porte de "Brandebourg"
    Elle connut celles de Hambourg
    Qui donnent accès aux maisons closes
    Dans lesquelles elle fit... " La chose"
    Ainsi trois cent années plus tard
    Un corps beau fut dupe d'un Reinhard !
     
     
       

    25 février 2012

    ©Dominique

       

     

    Herr*  = Monsieur en Allemand


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