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INSPIRATION PAR L'AFFICHE
Leonetto Cappiello ( 1875 - 1942 )
Senryū
Oh dis rends le moi !
Nigaude je l'ai SUCHE
M'en moque c'est SUCHARD !
16 Avril 2012
© Dominique
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Les Macaques !
LUI
Ma belle amie, jolie macaque Laissez-moi baiser vos longs doigts Vous faire la cour comme il se doit Pourquoi m'avoir donné une claque ( Mais pour qui elle s’ prend la donzelle ) ( Elle fait des excès de zèle ) ( Elle veut jouer les saintes nitouches ) ( La pucelle qu'on effarouche ) --------------- ELLE Vous vouliez ma main n'est-ce pasJ'ai fait à votre convenanceLouez-donc mon obéissanceVous l'eûtes lorsqu'elle m'échappa ( Il faut que je me carapate) ( Que je m'éloigne de ce primate )( Il n'arrête pas de m' bisouiller )( La main et ce n'est pas le pied )--------------- LUI Je devine votre langueurVotre joli minois est tristeQue de mélancolie mon cœurSouffrez qu'auprès de vous j'insiste ( Elle fait toujours sa mijaurée )( Elle se croit trop belle pour moi )( T'inquiète ma p'tite je t'aurai )( Malgré ton farouche quant-à-soi )---------------- ELLE Sombre moi mais aucunementPeut être un peu de lassitudeA tolérer votre attitudeAccepter votre empressement ( Il m'exaspère ce malotru )( Ce vieux singe ce sapajou )( S'il a eu ma main sur la joue )( Mon pied il va l'avoir au c.. ! ) © Dominique 02 juin 2013
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Le Crapaud et la Grenouille
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de POETES FRANCAIS CELEBRES -Tous siècles confondus.MORICE LE GOFFIC, BARBIER BRETON, juché sur son CHAR à bœufs, accompagnait VALERY, sa jeune belle soeur, en ARAGON . Ils passèrent par LA TOUR DU PIN . La belle aperçut au loin LAFONTAINE . LATTAIGNANT , elle voulut ramasser de LA BRUYERE et de L’AUBESPINE mais sélectionnant MALHERBE, elle arracha la RACINE de fleurs DESCHAMPS, cachées sous DES ROCHES . Levant les yeux, elle vit alors, la tourelle d’un CHATEAUBRIAND sous le soleil, comme autant DE VERMEIL. A LAFENESTRE de la tour, elle distingua LE BRAZ blanc, d’une demoiselle, jouant DE LA HARPE. Le BARBIER, ayant bu la totalité d 'une bouteille DE BOURBON , se laissa ALLAIS . Il prit la jeune femme, par LA TAILLE et LASSAILLY.
MAROT, SAUVAGE, vieux RENARD cria celle-ci. Ah ! Je suis pour toi, une rose en BOUTON et tu trouves mes RIMBAUD ! Si le jus DELAVIGNE t’est contraire, BOILEAU ! Lança-t-elle furieuse en lui claquant le visage de SAMAIN . Je suis MALARME il est vrai. rajouta la jeune femme, et nous ne pouvons nous COLLETTET ni nous livrer BATAILLE, CRETIN ! Mais tu peux toujours goûter à LAPOINTE de mon ombrelle. Je n’ai pas peur DE LA MARCHE, bien que j’aie une douleur VERLAINE et mal HAUDENT mais, ça PASSERAT. Descends mes bagages de ta VOITURE, je vais aller chercher refuge à l'église chez Monsieur LABE. Je sais qu'au moins lui , sera CLEMENT.
© Dominique
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Décembre 2012
© Dominique
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