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     Mon  Recueil de Nouvelles

    Les Caprices du Destin "

    Est paru aux Editions Edilivre le 19 septembre 2022

     

    * C'est uniquement l'Editeur qui  détermine le pris du livre.

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    Mon Recueil de Nouvelles " Les Caprices du destin"

     

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     Mon   Roman 

    " Sur les Rives du fleuve Amour " 

    A paru aux Editions Edilivre le 29 juin 2021

     

     Vous pouvez cliquer ici pour en lire un extrait

    Mon second Roman : " Sur les Rives du Fleuve Amour"

    R E S U M E

    Dans la Russie du XIXe siècle, dans deux villes des environs de Moscou, distantes entre elles, d'une cinquantaine de kilomètres ; l' une, "Lyoubertsy" au Sud-Est, où demeure la comtesse Irina Anatolievna Ivanovna ; l'autre " Odintsovo" au Sud-Ouest dans laquelle réside son neveu, le comte Alexandre Vassilievitch Ozerov. Celui-ci qu'elle considèra toujours, comme l'enfant qu'elle n'eût jamais est le fils de sa défunte soeur. Le Destin paraît s'amuser avec cette famille de nobles, en faisant, tel des pions, se déplacer sur un gigantesque échiquier au gré de sa fantaisie: Maîtres et valets. Du jeu de ce tacticien de la vie, d' "Avantage" en "Contre-attaque", naîtront, des intrigues et des rencontres ; des peines et des joies ; des trahisons mais également des amours, des révélations, des vengeances mais aussi du repentir. Ces divers évènements viendront rectifier la position et rétablir le fragile équilibre, de ces "Pions" humains.

     

     

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    ESPACE TEMPS  

     

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    Dominique

     


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  •  Mon  Roman 

    " Sur les Rives du fleuve Amour " 

    Mon second Roman : " Sur les Rives du Fleuve Amour"

    R E S U M E

    Dans la Russie du XIXe siècle, dans deux villes des environs de Moscou, distantes entre elles, d'une cinquantaine de kilomètres ; l' une, "Lyoubertsy" au Sud-Est, dans laquelle demeure la comtesse Irina Anatolievna Ivanovna ; l'autre " Odintsovo" au Sud-Ouest où réside son neveu, le comte Alexandre Vassilievitch Ozerov. Celui-ci qu'elle considèra toujours, comme l'enfant qu'elle n'eût jamais est le fils de sa défunte soeur. Le Destin paraît s'amuser avec cette famille de nobles, en faisant, tel des pions, se déplacer sur un gigantesque échiquier au gré de sa fantaisie: Maîtres et valets. Du jeu de ce tacticien de la vie, d' "Avantage" en "Contre-attaque", naîtront, des intrigues et des rencontres ; des peines et des joies ; des trahisons mais également des amours, des révélations, des vengeances mais aussi du repentir. Ces divers évènements viendront rectifier la position et rétablir le fragile équilibre, de ces "Pions" humains.

     

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    PROLOGUE

     

    Dans la culture russe, le thé, que l'on boit à toute heure ; fut de tout temps une véritable institution. Au milieu du XIXe siècle à « Lyoubertsy », petite ville au Sud-est de Moscou, dans la demeure de la comtesse Irina Vassilievna Ivanovna, la préparation de cet emblématique breuvage était dévolue à Olga Konstantinovna*(1) Lejova, l’intendante.

    Dans un rituel matinal, Olga, préparait quotidiennement le grand "samovar" d'argent. Après l’avoir empli d'eau, elle enflammait, dans le foyer de celui-ci, les charbons de bois qui allaient chauffer l'air de la cheminée centrale et, porteraient ainsi, l'eau à ébullition, en lui maintenant une chaleur constante. Lors de ce bouillonnement on disait poétiquement, que " le samovar chantait ".

    Dans la théière au décor bleu cobalt, du service en porcelaine de « Lomonossov », la porcelaine la plus raffinée de Russie, Olga, déposait plusieurs feuilles d'un thé noir, très amer, auxquelles ; elle rajoutait, selon la demande ; des baies de fruits rouges, des morceaux d'agrumes séchés, de la bergamote ou bien encore du miel, afin d'en atténuer l'amertume. Puis, après y avoir versé, l’eau, elle reposait la théière sur le « piédouche », chapeautant le samovar où, ce mélange de thé, très concentré, nommait "zavarka" infusait alors.

    ARRIVEE A « LYOUBERTSY » 

    En cette fin de journée hivernale, du mois de février mille huit cent cinquante-quatre, à « Lyoubertsy », petite ville située à vingt-quatre kilomètres au sud-est de Moscou ; la comtesse Irina Vassilievna Ivanovna, une alerte septuagénaire ; après avoir dîné comme à l’accoutumée, d'un léger bouillon de légumes, se rendit dans l’un des salons de sa vaste demeure. Celui-ci ; dont les murs et les sièges étaient tendus de lampas vert amande était prosaïquement nommé : le salon vert. Elle s’assit, dans une bergère à oreilles, tout près de la cheminée, qui dispensait sa douce chaleur.

    Le crépitement du feu, propice à la somnolence, la conduisit peu à peu à l'endormissement, le livre : « Un bretteur », d'Ivan Tourgueniev ; dans lequel elle s’était plongée quelques minutes auparavant ; encore ouvert sur ses genoux. Olga Konstantinovna, afin de ne pas l’éveiller, s'avança à pas feutrés, vers les fenêtres du salon, desquelles elle tira les lourds rideaux, de velours vert empire et s’apprêtait à fermer les croisées, lorsqu’elle suspendit son geste ; en apercevant la lumière émanant de la lanterne d'un fiacre, s'approchant au petit trot de la demeure. Elle se dirigea, vers la bergère dans laquelle Irina Ivanovna, dormait du sommeil du juste et, délicatement l’éveilla en murmurant à son oreille :

    -  Irina Vassilievna … ! Irina Vassilievna … !

    Irina tressaillit et, à l’instar de quelqu’un que l’on eût pris en faute ; en un réflexe, elle rajusta son bonnet, lissa prestement son corsage, ferma le livre, que les plis de son imposante jupe, avaient maintenu en place et, d'une mauvaise foi évidente ; qui fit sourire Olga répondit :

    - Ne criez pas aussi fort Olga Konstantinovna, je ne suis pas sourde savez-vous ? J'étais pensive voilà tout mais qui y a-t-il ?

    - Un fiacre arrive chez nous Irina Vassilievna !

    - À cette heure ? Allez donc voir qui cela peut bien être !

    Olga, grande et svelte quadragénaire, au teint marmoréen et pommettes saillantes, coiffée d’une large natte couronnant sa chevelure blonde ; s’empressa d'exécuter l'ordre, dans les bruissements de sa longue robe de taffetas noir à haut collet, qui lui donnait un air austère. Elle ouvrit la lourde porte à double vantaux et vit le fiacre s'immobiliser devant l’entrée. Un homme, de belle stature, en descendit le premier en offrant son bras, à une toute jeune femme, qui portait un ballot et paraissait pleurer. Se tournant vers le cocher, l’homme lui demanda d'attendre et, ce fut dos courbé et cinglé par des tourbillons de neige, que le couple, avança vers le perron de la luxueuse demeure, dont les trois colonnes de style dorique, soutenaient un fronton semi-circulaire. Après avoir franchi les quelques marches menant au seuil, les arrivants, ôtèrent à l'aide du décrottoir scellé dans le mur, la neige qui s'était amassée sous leurs bottes. Secouant les derniers flocons restés accrochés à son manteau à col de loutre, l'homme s’avança vers l’intendante et dit en ôtant respectueusement son chapeau haut de forme :

    - Bonsoir Olga Konstantinovna !

    Mais avant même, que cette dernière n’ait eu le temps de répondre à cette civilité ; de l'intérieur de la demeure, la comtesse s'enquit.

    - Qui donc est-ce, Olga ?   ............

     

     

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    © Dominique


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    Ma  Seconde  Publication  

    ( 2006 )

      

    " Un Roman "

    Il parait établi que les souvenirs seraient si je puis dire, stockés dans l’Hippocampe ou « Corne d’Ammon », située dans la face médiane du lobe temporal. Et quand bien même, cela ne m’apporte pas la réponse à cette question que je me pose si souvent :

    Pourquoi les souvenirs sont-ils si sélectifs ? 
     

    Pourquoi durant notre vie, avons nous la faculté de nous souvenir de certains événements et pas d’autres ? Je ne parle pas bien évidemment d’événements  qui ont marqué notre existence d’une façon indélébile en bien comme en mal. Les grandes peines, comme les grandes joies ne peuvent s’oublier. Je veux parler des ces petits faits, qui ont jalonné notre parcours de vie, constitué notre quotidien en somme. 

    SI je me suis souvent posé cette question, je n’ai jamais pu à ce jour trouver de réponse.

    Comme tout un chacun, j’ai des souvenirs très précis de périodes de ma vie, dont j’ai cette curieuse impression, tellement ils sont encore distincts en ma mémoire, qu'ils ne datent que d’hier. Hélas pour combien de temps encore, ceux-ci me seront -ils restitués tels qu'ils se sont déroulés. Le temps passe si vite….. Comme on le fait si volontiers de moments que l’on aime en les enregistrant ou en les filmant pour la postérité ; N’ ayant pas de descendance et ne souhaitant  pas pour autant que ces jours heureux se perdent à jamais lorsque la flamme de ma vie s’éteindra, j’ai couché, pour les immortaliser   certains de ces souvenirs sur papier et c’est en partie, en partie seulement, que ceux-ci ont contribué à la conception de ce livre. On ne peut s’y tromper celui-ci est un roman, il n’est absolument pas autobiographique, mais j’ai pris plaisir à faire revivre au personnage principal, une période bien précise de mon enfance. Période heureuse s’il en fut. Mes souvenirs,  se mêlant  à mes fantasmes et à mes espérances m'ont permis d'écrire ce roman. Je n’ai eu qu'à fermer les yeux pour faire renaître tout ce qui fut alors, à cette époque de ma vie « Mon petit monde » , dans ce joli village de Provence,  au pays des Santons. 

     

     Mon Roman :  " Les Méandres du Temps "

     

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     En même temps que  l'année 2OO9  

    Naissait également

    Mon premier   "Recueil de Poèmes "

     

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    Celui-ci est constitué de 
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