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Mon Papillon Floral
Mon Papillon Floral
( 20 cm x 27 cm )Un détail du Papillon
05 Juin 2012
©Dominique
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Sur l'air de la chanson "Tu T'laisses aller "(de Charles ARNAVOUR)
Vingt-quatre heures !
S’il nous était offert un jour
De revivre vingt-quatre heures de vie
De faire le compte à rebours
Lesquelles par nous, seraient choisies
Ce serait là, un grand dilemme
Choisir de revivre des bonheurs
Au nombre de tous ceux que l’on aime
Pour vingt quatre-heures, pour vingt quatre-heures !
Vingt-quatre heures en continu
Revivre un jour intensément
Ou bien choisir de notre vie
Çà et là, plusieurs beaux moments
Comment pouvoir privilégier
Des joies qui emplissent notre cœur
D’une façon délibérée
Vingt-quatre heures, vingt-quatre heures ?
Vingt-quatre heures passent très vite
Lorsqu’on les vit intensément
Mais en ce cas ce serait pire
Car l’on saurait expressément
De quoi fut fait notre avenir
Constitué de rires et pleurs
Et l’on voudrait les retenir
Ces vingt-quatre heures, ces vingt-quatre heuresEt l’on voudrait les retenir
Ces vingt quatre-heures, ces vingt-quatre heures !
© Dominique
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Edmond ROSTAND à ARNAGA Suite ...
Edmond ROSTANDPortant l' Habit d'AcadémicienContinuons la visite si vous le voulez bien !Le Boudoir de Rosemonde GERARD
La Chambre de Rosemonde GERARD
( Au dessus du lit son portrait)La Chambre des deux enfants
La Salle à Manger d'inspiration Louis XVI
(Sur la droite dans la niche, la guirlande de Laurier surmontant deux Cygnes fut offerte aux ROSTAND par la très célèbre ,Cécile Sorel )
L'Office où l 'on peut voir sur les assiettes :
Les prémices de " CHANTECLER " Sa Pièce, écrite en 1910
La Salle d'hydrothérapie
La Bibliothèque
Dans l'une des Vitrines
Un Manuscrit de Rosemonde GERARDUn Buste de Cyrano . . .
Dans une autre :
Le CESAR obtenu pour "CYRANO"en 1991, par Gérard DEPARDIEU
et qu'il offrit à la Villa ARNAGA lors de sa réception en disant :"Je voudrais remettre ce César, là bas , au Musée Edmond ROSTAND à CAMBO car je pense que sans Lui ,je ne serais pas là ! "
© Dominique
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Chaque pas !
Chaque pas que je fais encor vers l’avenir
Creuse un peu plus l’abîme du passé, de l’enfance
Réduisant peu à peu ce qu’est mon devenir
Orchestrant par ce fait, la fatale échéance
Dont je me soucie plus, que je ne la redoute
Sachant bien qu’elle sera gagnante en cette joute
Gagnante cela est sûr, mais de quelle façon
Qu’elle arme fourbira-t-elle pour mon exécution
Son toxique venin qui tue à faibles doses
Dont l’insipidité plus encore nous expose
Ou bien le fléau d’arme, comme il sied aux combats ?
Lequel frappe un seul coup et ne pardonne pas
Si je pouvais choisir l’option de cette chute
Ce serait la seconde, la première me rebute
Partir rapidement ne pas m’apercevoir
De la décrépitude, cet abus de pouvoir
Qui rongera mon corps, volera ma raison
S’appropriera ma vie par sa domination
J’opterais volontiers pour une fin précoce
Plutôt que vivre âgée, mais de façon atroce
D’aucuns ne trouveront que faiblesse, lâcheté
A ce que je pense n’être, que légitimité© Dominique
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